Cette sonate ouvre le cycle des trois dernières sonates de Beethoven, toutes datées de 1820-22. Il semble, d'après Schindler, que le compositeur se lança un défi car l' "Allgemeine Musikalische Zeitung" l'avait présenté comme étant maintenant fini et hors de la vie musicale de son temps. Composée durant l'été de 1820 à Mödling, elle est adressée à la fille d'Antonia Brentano. La partition est publiée chez Schlesinger à Berlin en novembre 1821.
Vivace man non troppo à 2/4 en mi majeur
Prestissimo à 6/8 en mi mineur
Andante à 3/4 en mi majeur