Cette sonate change complètement d'esprit par rapport à la première, la violence et la douleur de la première ont ici disparus. Ici l'atmosphère est presque comique où l'on surprend Beethoven composer son propre plaisir. C'est un hommage au maître Haydn, notamment avec son premier mouvement. Le scherzo remplace le menuet.
Allegro vivace à 2/4 en la majeur
Largo appassionato à 3/4 en ré majeur
Scherzo : Allegretto à 3/4 en la majeur
Rondo : Grazioso à 4/4 en la majeur